Les dangers des jouets connectés
Les jouets connectés représentent de réels dangers vis-à-vis des données personnelles ainsi que de la protection de la vie privée. Cette affirmation a été prononcée par le CNIL ou Commission nationale de l’informatique et des libertés. Les parents ont une véritable mission dans pareille situation : protéger les membres de leur famille des cyber-attaques.
La gravité de situation
Les jouets connectés ainsi que les accessoires informatiques tels que les webcams ou les réseaux sociaux peuvent être des portails pour les hackers. Les consoles portables et les enceintes connectées sont également des cibles pour ces as de l’informatique. Les risques sont énormes : même un simple gadget à connexion WiFi ou Bluetooth peut être piraté. En effet, la sécurisation de ces objets n’est pas encore tout à fait au point. La protection et l’intrusion se confondent.
Adopter les bons gestes
La sensibilisation a déjà été lancée depuis plusieurs années. Elle a pour but de limiter les dangers occasionnés par une sécurisation bâclée des jouets connectés. Chaque ordinateur dans le foyer devrait également être contrôlé ou piloté par un adulte. Il en est de même pour chaque jouet. Les multiples possibilités qu’offre chacun de ces accessoires de divertissements sont à prendre en compte, surtout leurs manières de se connecter à internet. Les identifiants de communication doivent être changés. Il faut procéder régulièrement à des mises à jour.
Quelques jouets affectés
De nos jours, un bon nombre de jouets se connectent par Bluetooth ou WiFi. La licence Star Wars a sorti un petit robot ressemblant au BB8, similaire à celui dans le film, mais en version miniature. Ce jouet peut se connecter sur les serveurs Internet à proximité de lui. Une autre, comme la poupée « Mon amie Cayla » se connecte à un téléphone par Bluetooth. Ce gadget a la capacité de parler et de répondre à chaque question de l’enfant via l’accès à Internet. Il rassemble des informations sur des sites populaires tels que Wikipédia…, augmentant ainsi les risques d’intrusion.